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RÉCITAL SALLE CORTOT
avec Anna Giorgi

10 février 2024

Festival Élite
 

" Le programme (...) aura permis de mettre en valeur la remarquable adaptabilité stylistique de l’interprète, ainsi que ses grandes qualités vocales, techniques et interprétatives. 
La voix d’Anne-Lise Polchlopek est d’une belle homogénéité, avec un grave chaleureux, un aigu franc, et une liaison entre les registres d’un grand naturel. Si l’on sent la chanteuse particulièrement à l’aise dans la mélodie et l’opéra français (elle a remporté l’an dernier le Grand prix de la mélodie au Concours international de Toulouse), elle ne se montre pas moins convaincante dans le Didon et Énée de Purcell ou Le couronnement de Poppée de Monteverdi. De la reine de Carthage, Anne-Lise Polchlopek possède la grandeur de ton mais aussi la tristesse noble et pudique, avec un « Remember me » dont la reprise pianissimo est poignante… comme le sont les exclamations douloureuses qui ouvrent les adieux à Rome, touchants de sobriété et d’émotion contenue. Le répertoire italien plus tardif, au service duquel la mezzo met cette fois-ci une chaleur expressive très bienvenue, est représenté par l’air de Musette extrait de la rare Bohème de Ruggiero Leoncavallo, le « Sole e amore » de Puccini (qui préfigure le quatuor clôturant l’acte III de La bohème…), et l’air de Leonora de La favorita (en italien : dommage…), dont les écarts vocaux sont bien maîtrisés et dont la chanteuse met parfaitement en valeur le contraste opposant le lancinant  « O mio Fernando » à la fougueuse cabalette. Merci enfin à Anne-Lise Polchlopek d’avoir proposé quelques raretés, telles « La Princesse sans cœur » d’Holmès, ou encore la très belle « Scène de Phèdre » de Viardot.

(...) Le public, conquis, réclame un bis : ce sera le délicieux « À Chloris » de Reynaldo Hahn, offert avec tout le charme et toute la simplicité requis par la page. Anne-Lise Polchlopek : plus qu’une artiste prometteuse, un talent déjà confirmé dont nous suivrons les prochaines apparitions avec intérêt !"


Première Loge, Stéphane Lelièvre, 11 février 2024

© Pascal Gely

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© Pascal Gely

© Première Loge

THE CARMEN CASE

Soh/Bizet/Lacroix

Direction : Lucie Leguay

Opéra National de Bordeaux

Janvier 2024

 

« Anne-Lise Polchlopek est une Carmen on ne peut plus crédible, à la voix sonore, au tempérament de feu. »

Opéra Magazine, Christian Wasselin, 31/01/24

 

« Au final, c’est Carmen, encore et toujours, qui triomphe grâce […] à Anne-Lise Polchlopek – elle a les notes, le cran et la liberté, vocale et scénique, de l’emploi. Ce n’est que justice ! »

Diapason Magazine, Benoît Fauchet, 26/01/24

 

« La mezzo-soprano française affiche une voix particulièrement ancrée, avec des aigus larges et pénétrants qui rendent à son rôle toute sa puissance de caractère. Le souffle n’est jamais altéré, même lorsque la mise en scène lui impose de chanter le corps engoncé dans la tribune. »

Olyrix, Olivier Delaunay, 26/01/24

 

« Anne-Lise Polchlopek è perfetta nel restituire la fiera libertà di Carmen. La scena finale sulle note di "L'amour est un oiseau rebelle" è densa di emozione. »

Fattitaliani.it  13/01/24

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